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Suicide, cet homme qui ne veut plus vivre, il se jette sa vie se termine son sang s’éparpille. Mon regard est posé sur ce corps qui ma éclabousser, son âme à souffert ma noirceur peut se satisfaire, que sont corps sanglant et mort, fasse progresser se monde dans le gore. Ils sont 2, bien vivant mais ils côtoient la mort : un meurtrier regarde sa victime, avec un horrible plaisir. Que sa blessure satisfait mes désirs les plus impurs. Il regarde sa victime agoniser, et de ses yeux morbide, regarde le sang fuir, dans l’infini de cette ruelle. Ce plaisir digne de l’enfer, me donne pourtant l’impression d’être au paradis. Leurs âmes et leur corps s’effondrent, mon plaisir monte. Je suis même au plus haut des plaisirs, à la plus grande des fiertés, d’en avoir tant tuez. Je suis l’homme qui sourit après un suicide, celui qui vient de regarder ton meurtre, je suis toi, oui toi, qui souhaitai que ce tueur en série continue de sévir, qui a suivi ça vie aux infos de midi, car dans l’infini de ton cœur, tu es satisfait de cette terreur. Spectateur, et messager de l’horreur, votre âme d’humain m’accueille, alors que je veux tant la voir dans un cercueil. Je suis le sadisme lui-même, et votre amour pour moi est la plus grande des horreurs