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Quelque morts, des cadavres mutilés, exposés à notre regard. Toujours cette quête incessante : chercher la mort, chercher le gore. Prêt à tuer pour de la chair humaine, mais pas pour manger, juste, par cruauté et pour regarder. Des morts par centaines, génocides et cataclysmes, sont mes sources de plaisir. Juste voir la mort, juste, voir le sang couler de leurs corps. Faim d’éventrations, migraine chaque jours et chaque saisons, décapitations mon remède maison. Mon esprit veut les voir souffrir, mon cœur, exige qu’ils meurt dans la terreur. Je bois du sang par les yeux, j’arrête leurs vies par plaisir. Extinction des hommes, pour évité l’extinction du gore. J’entre en transe, dans un flot de violence. Je vois l’océan de sang, tant de vie se termine, tant de litres s’étal. Mes actes sont barbare, mais jamais je ne m’arrêterai, même une foi satisfait. Ma destiné est de vous tuer, l’avenir, vous fera périr dans une violence infini